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photographies de julien cresp sur le travail de christine rohlich
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Christine Rohlich : The one who sculpted tales

Location :

Milly la Forêt

About :

Crossing the threshold of Christine ROHLICH's workshop is entering Dreamland :

Once circumvented the tree growing in the staircase, the visitor is greeted by Ottavia Von Plouf, the laughing sea lion. Barely recovered from this meeting for the least unexpected, the Pelican Gontran the Voracious takes the relay, still enjoying his Japanese carp.

Paper sculptor, the one who also considers herself as a visual artist scenographer, has developed her own technique to preserve all the vibratory properties of the silk paper.

According to Christine ROHLICH, everything is a matter of humor, lightness and tenderness. This tender humor that recalls childhood and adds lightness to life. This life that with her scissors, silk papers, patinas and laughters, Christine perfectly fills with anecdotes...

. . . .

Franchir le seuil de l’atelier de Christine ROHLICH, c’est entrer en Onirie.
Sitôt l’arbre qui pousse dans la cage d’escalier contourné, le visiteur est accueilli par Ottavia Von Plouf l’otarie rieuse. A peine remis de cette rencontre pour le moins inattendue, c’est le Pélican Gontran le Glouton qui prend le relai, encore en train de déguster sa carpe japonaise.

Attentif à ne pas contrarier l’hippopotame qui émerge dans le salon, le regard bute alors sur Maxime, qui se goinfre de junk food sur le canapé. Devant une télé éteinte. Non loin de là, une ado adossée au mur de l’atelier écoute, insensible à ce qui l’entoure, la musique diffusée par son baladeur.

Chez Christine, tout est affaire d’humour, de légèreté et de tendresse. 
De cet humour tendre qui rappelle l’enfance et ajoute de la légèreté à la vie.
La vie qu’avec ses ciseaux, ses papiers de soie, ses patines et ses grands éclats de rire, Christine semble si bien remplir d’anecdotes
© Julien Cresp
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